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Numéro
27 OMA, la table franco-coréenne aux saveurs fusion exaltantes

OMA, la table franco-coréenne aux saveurs fusion exaltantes

Food

Installé depuis quatre ans dans le 9e arrondissement de la capitale, le restaurant franco-coréen OMA, piloté par la cheffe Ji-Hye Park, dévoile sa nouvelle carte de rentrée, comprenant des grands classiques de la cuisine coréenne revisités à la sauce française.

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© Bromance Agency

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Au sein d’une petite rue au cœur du quartier de Pigalle, le restaurant franco-coréen OMA a posé ses valises il y a maintenant quatre ans. Comme les petites cantines typiques de Séoul, l’adresse se compose d’une seule pièce ouverte directement sur la cuisine, ainsi que d’une terrasse agréable donnant sur rue. Aux commandes du restaurant, on retrouve non pas un chef, mais une cheffe : Ji-Hye Park, originaire de Corée du Sud et parisienne d’adoption depuis vingt-huit ans. Après avoir travaillé en tant qu’architecte d’intérieur pendant une dizaine d’années, elle est revenue à son premier amour, la cuisine, que son père lui a transmis dés son enfance.

 

Véritable autodidacte, elle se lance alors dans l’aventure en tant que cuisinière à domicile, puis décide d’ouvrir son propre restaurant, OMA (“maman” en coréen), en 2017. Depuis, la carte, qui propose des recettes à la croisée de deux cultures de sa cheffe, change tous les mois, mais propose toujours une cuisine maison, composée de produits français minutieusement sourcés. Pour la rentrée, OMA dévoile alors sa nouvelle carte, comprenant cinq entrées, six plats et trois desserts. Pour commencer le repas, on retrouve donc un délicieux artichaut frit, agrémenté d’une vinaigrette citronnée et de parmesan, ou encore un saumon aux trois agrumes, noix de cajou torréfiées et baies roses.

 

On continue l’expérience fusion avec un excellent bibimbap, met très populaire en Corée, composé d’un riz légèrement épicé, d’un œuf mollet et d’algues parfumées. On peut aussi se laisser tenter par la spécialité de la maison : une poitrine de porc cuite en trois temps (qui demande deux jours de préparation), accompagnée d’une sucrine braisée minute au gochujang (très épicé) et déposée sur une onctueuse crème à base de miel, thym et oignons. Enfin, le repas se termine sur une note sucrée des plus gourmandes, avec un fondant au chocolat noir bien corsé, agrémenté d’une barre de céréales faite maison, et une tarte au citron meringuée déconstruite au basilic thaï.

 

OMA, 44 rue Rodier, Paris 9e