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Deux ans après la riche rétrospective qui lui était consacrée au Grand Palais, le maître de la photographie américain Irving Penn est de nouveau exposé à Paris, par la galerie Thaddaeus Ropac. Si la précédente exposition brossait l’ensemble de son œuvre sur près de soixante années, notamment ses célèbres portraits et photographies de mode, celle-ci se concentre sur un pan légèrement moins connu – peut-être parce que moins “glamour” – de son travail, dans lequel il a pourtant su s’illustrer avec brio : la nature morte.
Alors que des mégots et paquets de cigarettes semblent écrasés par l’objectif tant ils sont photographiés de près, des macros de fleurs fanées sur fond blanc se rapprochent davantage d’une iconographie botanique : rebuts humains ou végétaux, les sujets d’Irving Penn se voient sublimés par leur cadrage en gros plan. Parallèlement, bon nombre de ses images s’inscrivent davantage dans la tradition de la nature morte telle qu’elle fut peinte par les grands maîtres néerlandais et flamands au XVIIe siècle. Ces compositions mettent en scène, à la manière des peintures classiques, aussi bien des grappes de raisin trônant dans une coupe à côté d'une tranche de pastèque et d'un quignon de pain entamé, des cerises dispersées dans une flaque de lait renversé que des crustacés émergeant d'un bol de soupe.
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Deux ans après la riche rétrospective qui lui était consacrée au Grand Palais, le maître de la photographie américain Irving Penn est de nouveau exposé à Paris, par la galerie Thaddaeus Ropac. Si la précédente exposition brossait l’ensemble de son œuvre sur près de soixante années, notamment ses célèbres portraits et photographies de mode, celle-ci se concentre sur un pan légèrement moins connu – peut-être parce que moins “glamour” – de son travail, dans lequel il a pourtant su s’illustrer avec brio : la nature morte.
Alors que des mégots et paquets de cigarettes semblent écrasés par l’objectif tant ils sont photographiés de près, des macros de fleurs fanées sur fond blanc se rapprochent davantage d’une iconographie botanique : rebuts humains ou végétaux, les sujets d’Irving Penn se voient sublimés par leur cadrage en gros plan. Parallèlement, bon nombre de ses images s’inscrivent davantage dans la tradition de la nature morte telle qu’elle fut peinte par les grands maîtres néerlandais et flamands au XVIIe siècle. Ces compositions mettent en scène, à la manière des peintures classiques, aussi bien des grappes de raisin trônant dans une coupe à côté d'une tranche de pastèque et d'un quignon de pain entamé, des cerises dispersées dans une flaque de lait renversé que des crustacés émergeant d'un bol de soupe.
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Deux ans après la riche rétrospective qui lui était consacrée au Grand Palais, le maître de la photographie américain Irving Penn est de nouveau exposé à Paris, par la galerie Thaddaeus Ropac. Si la précédente exposition brossait l’ensemble de son œuvre sur près de soixante années, notamment ses célèbres portraits et photographies de mode, celle-ci se concentre sur un pan légèrement moins connu – peut-être parce que moins “glamour” – de son travail, dans lequel il a pourtant su s’illustrer avec brio : la nature morte.
Alors que des mégots et paquets de cigarettes semblent écrasés par l’objectif tant ils sont photographiés de près, des macros de fleurs fanées sur fond blanc se rapprochent davantage d’une iconographie botanique : rebuts humains ou végétaux, les sujets d’Irving Penn se voient sublimés par leur cadrage en gros plan. Parallèlement, bon nombre de ses images s’inscrivent davantage dans la tradition de la nature morte telle qu’elle fut peinte par les grands maîtres néerlandais et flamands au XVIIe siècle. Ces compositions mettent en scène, à la manière des peintures classiques, aussi bien des grappes de raisin trônant dans une coupe à côté d'une tranche de pastèque et d'un quignon de pain entamé, des cerises dispersées dans une flaque de lait renversé que des crustacés émergeant d'un bol de soupe.
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Deux ans après la riche rétrospective qui lui était consacrée au Grand Palais, le maître de la photographie américain Irving Penn est de nouveau exposé à Paris, par la galerie Thaddaeus Ropac. Si la précédente exposition brossait l’ensemble de son œuvre sur près de soixante années, notamment ses célèbres portraits et photographies de mode, celle-ci se concentre sur un pan légèrement moins connu – peut-être parce que moins “glamour” – de son travail, dans lequel il a pourtant su s’illustrer avec brio : la nature morte.
Alors que des mégots et paquets de cigarettes semblent écrasés par l’objectif tant ils sont photographiés de près, des macros de fleurs fanées sur fond blanc se rapprochent davantage d’une iconographie botanique : rebuts humains ou végétaux, les sujets d’Irving Penn se voient sublimés par leur cadrage en gros plan. Parallèlement, bon nombre de ses images s’inscrivent davantage dans la tradition de la nature morte telle qu’elle fut peinte par les grands maîtres néerlandais et flamands au XVIIe siècle. Ces compositions mettent en scène, à la manière des peintures classiques, aussi bien des grappes de raisin trônant dans une coupe à côté d'une tranche de pastèque et d'un quignon de pain entamé, des cerises dispersées dans une flaque de lait renversé que des crustacés émergeant d'un bol de soupe.
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Deux ans après la riche rétrospective qui lui était consacrée au Grand Palais, le maître de la photographie américain Irving Penn est de nouveau exposé à Paris, par la galerie Thaddaeus Ropac. Si la précédente exposition brossait l’ensemble de son œuvre sur près de soixante années, notamment ses célèbres portraits et photographies de mode, celle-ci se concentre sur un pan légèrement moins connu – peut-être parce que moins “glamour” – de son travail, dans lequel il a pourtant su s’illustrer avec brio : la nature morte.
Alors que des mégots et paquets de cigarettes semblent écrasés par l’objectif tant ils sont photographiés de près, des macros de fleurs fanées sur fond blanc se rapprochent davantage d’une iconographie botanique : rebuts humains ou végétaux, les sujets d’Irving Penn se voient sublimés par leur cadrage en gros plan. Parallèlement, bon nombre de ses images s’inscrivent davantage dans la tradition de la nature morte telle qu’elle fut peinte par les grands maîtres néerlandais et flamands au XVIIe siècle. Ces compositions mettent en scène, à la manière des peintures classiques, aussi bien des grappes de raisin trônant dans une coupe à côté d'une tranche de pastèque et d'un quignon de pain entamé, des cerises dispersées dans une flaque de lait renversé que des crustacés émergeant d'un bol de soupe.
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Deux ans après la riche rétrospective qui lui était consacrée au Grand Palais, le maître de la photographie américain Irving Penn est de nouveau exposé à Paris, par la galerie Thaddaeus Ropac. Si la précédente exposition brossait l’ensemble de son œuvre sur près de soixante années, notamment ses célèbres portraits et photographies de mode, celle-ci se concentre sur un pan légèrement moins connu – peut-être parce que moins “glamour” – de son travail, dans lequel il a pourtant su s’illustrer avec brio : la nature morte.
Alors que des mégots et paquets de cigarettes semblent écrasés par l’objectif tant ils sont photographiés de près, des macros de fleurs fanées sur fond blanc se rapprochent davantage d’une iconographie botanique : rebuts humains ou végétaux, les sujets d’Irving Penn se voient sublimés par leur cadrage en gros plan. Parallèlement, bon nombre de ses images s’inscrivent davantage dans la tradition de la nature morte telle qu’elle fut peinte par les grands maîtres néerlandais et flamands au XVIIe siècle. Ces compositions mettent en scène, à la manière des peintures classiques, aussi bien des grappes de raisin trônant dans une coupe à côté d'une tranche de pastèque et d'un quignon de pain entamé, des cerises dispersées dans une flaque de lait renversé que des crustacés émergeant d'un bol de soupe.
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Deux ans après la riche rétrospective qui lui était consacrée au Grand Palais, le maître de la photographie américain Irving Penn est de nouveau exposé à Paris, par la galerie Thaddaeus Ropac. Si la précédente exposition brossait l’ensemble de son œuvre sur près de soixante années, notamment ses célèbres portraits et photographies de mode, celle-ci se concentre sur un pan légèrement moins connu – peut-être parce que moins “glamour” – de son travail, dans lequel il a pourtant su s’illustrer avec brio : la nature morte.
Alors que des mégots et paquets de cigarettes semblent écrasés par l’objectif tant ils sont photographiés de près, des macros de fleurs fanées sur fond blanc se rapprochent davantage d’une iconographie botanique : rebuts humains ou végétaux, les sujets d’Irving Penn se voient sublimés par leur cadrage en gros plan. Parallèlement, bon nombre de ses images s’inscrivent davantage dans la tradition de la nature morte telle qu’elle fut peinte par les grands maîtres néerlandais et flamands au XVIIe siècle. Ces compositions mettent en scène, à la manière des peintures classiques, aussi bien des grappes de raisin trônant dans une coupe à côté d'une tranche de pastèque et d'un quignon de pain entamé, des cerises dispersées dans une flaque de lait renversé que des crustacés émergeant d'un bol de soupe.
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Deux ans après la riche rétrospective qui lui était consacrée au Grand Palais, le maître de la photographie américain Irving Penn est de nouveau exposé à Paris, par la galerie Thaddaeus Ropac. Si la précédente exposition brossait l’ensemble de son œuvre sur près de soixante années, notamment ses célèbres portraits et photographies de mode, celle-ci se concentre sur un pan légèrement moins connu – peut-être parce que moins “glamour” – de son travail, dans lequel il a pourtant su s’illustrer avec brio : la nature morte.
Alors que des mégots et paquets de cigarettes semblent écrasés par l’objectif tant ils sont photographiés de près, des macros de fleurs fanées sur fond blanc se rapprochent davantage d’une iconographie botanique : rebuts humains ou végétaux, les sujets d’Irving Penn se voient sublimés par leur cadrage en gros plan. Parallèlement, bon nombre de ses images s’inscrivent davantage dans la tradition de la nature morte telle qu’elle fut peinte par les grands maîtres néerlandais et flamands au XVIIe siècle. Ces compositions mettent en scène, à la manière des peintures classiques, aussi bien des grappes de raisin trônant dans une coupe à côté d'une tranche de pastèque et d'un quignon de pain entamé, des cerises dispersées dans une flaque de lait renversé que des crustacés émergeant d'un bol de soupe.
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Deux ans après la riche rétrospective qui lui était consacrée au Grand Palais, le maître de la photographie américain Irving Penn est de nouveau exposé à Paris, par la galerie Thaddaeus Ropac. Si la précédente exposition brossait l’ensemble de son œuvre sur près de soixante années, notamment ses célèbres portraits et photographies de mode, celle-ci se concentre sur un pan légèrement moins connu – peut-être parce que moins “glamour” – de son travail, dans lequel il a pourtant su s’illustrer avec brio : la nature morte.
Alors que des mégots et paquets de cigarettes semblent écrasés par l’objectif tant ils sont photographiés de près, des macros de fleurs fanées sur fond blanc se rapprochent davantage d’une iconographie botanique : rebuts humains ou végétaux, les sujets d’Irving Penn se voient sublimés par leur cadrage en gros plan. Parallèlement, bon nombre de ses images s’inscrivent davantage dans la tradition de la nature morte telle qu’elle fut peinte par les grands maîtres néerlandais et flamands au XVIIe siècle. Ces compositions mettent en scène, à la manière des peintures classiques, aussi bien des grappes de raisin trônant dans une coupe à côté d'une tranche de pastèque et d'un quignon de pain entamé, des cerises dispersées dans une flaque de lait renversé que des crustacés émergeant d'un bol de soupe.
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Deux ans après la riche rétrospective qui lui était consacrée au Grand Palais, le maître de la photographie américain Irving Penn est de nouveau exposé à Paris, par la galerie Thaddaeus Ropac. Si la précédente exposition brossait l’ensemble de son œuvre sur près de soixante années, notamment ses célèbres portraits et photographies de mode, celle-ci se concentre sur un pan légèrement moins connu – peut-être parce que moins “glamour” – de son travail, dans lequel il a pourtant su s’illustrer avec brio : la nature morte.
Alors que des mégots et paquets de cigarettes semblent écrasés par l’objectif tant ils sont photographiés de près, des macros de fleurs fanées sur fond blanc se rapprochent davantage d’une iconographie botanique : rebuts humains ou végétaux, les sujets d’Irving Penn se voient sublimés par leur cadrage en gros plan. Parallèlement, bon nombre de ses images s’inscrivent davantage dans la tradition de la nature morte telle qu’elle fut peinte par les grands maîtres néerlandais et flamands au XVIIe siècle. Ces compositions mettent en scène, à la manière des peintures classiques, aussi bien des grappes de raisin trônant dans une coupe à côté d'une tranche de pastèque et d'un quignon de pain entamé, des cerises dispersées dans une flaque de lait renversé que des crustacés émergeant d'un bol de soupe.
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Deux ans après la riche rétrospective qui lui était consacrée au Grand Palais, le maître de la photographie américain Irving Penn est de nouveau exposé à Paris, par la galerie Thaddaeus Ropac. Si la précédente exposition brossait l’ensemble de son œuvre sur près de soixante années, notamment ses célèbres portraits et photographies de mode, celle-ci se concentre sur un pan légèrement moins connu – peut-être parce que moins “glamour” – de son travail, dans lequel il a pourtant su s’illustrer avec brio : la nature morte.
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Deux ans après la riche rétrospective qui lui était consacrée au Grand Palais, le maître de la photographie américain Irving Penn est de nouveau exposé à Paris, par la galerie Thaddaeus Ropac. Si la précédente exposition brossait l’ensemble de son œuvre sur près de soixante années, notamment ses célèbres portraits et photographies de mode, celle-ci se concentre sur un pan légèrement moins connu – peut-être parce que moins “glamour” – de son travail, dans lequel il a pourtant su s’illustrer avec brio : la nature morte.
Alors que des mégots et paquets de cigarettes semblent écrasés par l’objectif tant ils sont photographiés de près, des macros de fleurs fanées sur fond blanc se rapprochent davantage d’une iconographie botanique : rebuts humains ou végétaux, les sujets d’Irving Penn se voient sublimés par leur cadrage en gros plan. Parallèlement, bon nombre de ses images s’inscrivent davantage dans la tradition de la nature morte telle qu’elle fut peinte par les grands maîtres néerlandais et flamands au XVIIe siècle. Ces compositions mettent en scène, à la manière des peintures classiques, aussi bien des grappes de raisin trônant dans une coupe à côté d'une tranche de pastèque et d'un quignon de pain entamé, des cerises dispersées dans une flaque de lait renversé que des crustacés émergeant d'un bol de soupe.
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Deux ans après la riche rétrospective qui lui était consacrée au Grand Palais, le maître de la photographie américain Irving Penn est de nouveau exposé à Paris, par la galerie Thaddaeus Ropac. Si la précédente exposition brossait l’ensemble de son œuvre sur près de soixante années, notamment ses célèbres portraits et photographies de mode, celle-ci se concentre sur un pan légèrement moins connu – peut-être parce que moins “glamour” – de son travail, dans lequel il a pourtant su s’illustrer avec brio : la nature morte.
Alors que des mégots et paquets de cigarettes semblent écrasés par l’objectif tant ils sont photographiés de près, des macros de fleurs fanées sur fond blanc se rapprochent davantage d’une iconographie botanique : rebuts humains ou végétaux, les sujets d’Irving Penn se voient sublimés par leur cadrage en gros plan. Parallèlement, bon nombre de ses images s’inscrivent davantage dans la tradition de la nature morte telle qu’elle fut peinte par les grands maîtres néerlandais et flamands au XVIIe siècle. Ces compositions mettent en scène, à la manière des peintures classiques, aussi bien des grappes de raisin trônant dans une coupe à côté d'une tranche de pastèque et d'un quignon de pain entamé, des cerises dispersées dans une flaque de lait renversé que des crustacés émergeant d'un bol de soupe.